TRAINING x Grégoire Schaller / 16,17,18 décembre 2024

Ouverture billetterie - lundi 25 novembre

BILLET UNIQUE POUR LES 3 JOURS Training pour danseur.euse.s pros et semi-pros uniquement, de 10h à 13h les 16,17 et 18 décembre 2024 5€ les 3 matinées sur réservation

-Le training- Corpsing, workshop de Grégoire Schaller Ce training s’articulera autour de trois axes de recherche : l’épuisement du mouvement, mourir sur scène et le corps collectif. En appréhendant le principe de répétition d’un motif chorégraphique, la question de la représentation de la violence et la dimension fédératrice de la procession, nous chercherons à confronter le corps à ses propres contraintes, afin de déployer une situation collective de disponibilité et d’empathie. Poursuivant l’exploration d’un état-limite, tant physique qu’émotionnel, la danse pourrait-elle s’appréhender comme une stratégie de résistance face aux injonctions à la normativité et à la domination ?

-Biographie de l'artiste- Grégoire Schaller est un artiste pluridisciplinaire ayant travaillé auprès des plasticiens Eva Robarts, Katie Stout, Théo Mercier ou encore Matthew Barney. Depuis 2016, il conçoit des projets performatifs transdisciplinaires à la frontière de la danse, de la performance et des arts visuels, qui articulent les corps à des figures archétypales telles que la gymnaste, le matador ou le cowboy. À travers ces pièces, il interroge tour à tour notre relation à la mort et à la perte, la naturalisation des rapports de pouvoir et la construction des récits dominants. Portées par la compagnie Lava, qu’il a co-fondée avec la chorégraphe Anna Chirescu, ces créations sont présentées aussi bien dans des musées que dans des salles de spectacle, tels que le Centre Pompidou, le Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, le Palais de Tokyo, le MAC VAL, la Ménagerie de verre ou encore la Villa Noailles. En 2024 et 2025, il est lauréat des programmes de résidence de la Villa Albertine (Marfa, TX) et de la Villa Kujoyama (Kyoto, JP). Il a également été interprète dans les pièces de Théo Mercier et de Stéphanie Aflalo.

Photo ©Ange Joannides